Depuis quelques années de plus en plus d’aliments biologiques sont proposés dans les rayons des grandes surfaces, et de nombreuses enseignes de magasins verts ouvrent leurs portes en France.

Beaucoup de personnes s’initient à la culture biologique, sans produits chimiques, les mentalités changent.

De nombreux magasins de produits biologiques, ouvrent et l’agriculture sans produits chimiques et sans pesticides est en marche.

Pendant ce temps l’agriculture intensive reprend de plus belle, la chimie crée son monopole sur le monde paysan et l’asservie complètement.

La terre est aspergée de molécules synthétiques de toutes sortes pour produire le plus possible, afin que celle-ci soit le plus rentable possible, au détriment de la vie microscopique qui la peuple.

Cette guerre contre les maladies, les insectes, les champignons, est déclarée ! et l’homme espère bien la gagner et imposer sa loi à la Nature.

Mais c’est sans compter sur la capacité d’adaptation du vivant, comme les bactéries, les virus etc. qui sont obligés de muter afin de contrecarrer ces attaques violentes.

Quand vous achetez des pommes, des pêches, des abricots issus de l’agriculture conventionnelle, sachez que ces fruits et légumes ont été traités pendant l’année de 27 à 30 pulvérisations de produits toxiques, ces molécules ne sont pas assimilables par le corps, ni par la Terre.

Imaginez la quantité de toxines qu’un être humain absorbe tout au long de sa vie, l'organisme des agriculteurs en est le plus souvent victime, il n’y a qu’à regarder les statistiques des problèmes de santé chez cette catégorie de personnes.

Mais à part le peu de présence de produits chimiques dans les produits biologiques quelle particularité y a-t-il à consommer ce genre d’alimentation ?

Martine Lesage, créatrice du blog La voix sacrée de la nature, est une convaincue, et nous apporte une nouvelle vision des légumes bio.

Grâce au procédé Kirlian, des photos des aliments ont été réalisées. Ces photos montrent une "lumière" vive autour des aliments biologiques (des bio photons), alors qu'au contraire, la lumière est beaucoup plus faible autour des aliments cultivés de façon conventionnelle.

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